Brigade du rail Tome 3
Requiem chez les cheminots
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Détail : - Brigade du rail Tome 3
Brigade du rail Tome 3 - Requiem chez les cheminots
Au début de l'année 1960, les agents de la Surveillance Générale (la police du rail) GRANVILLE et PIGAGNIOLE sont confrontés à un bien étrange mystère : un de leurs confrères de la « SUGE », enquêtant au sein des ateliers SNCF d'Epernay, est abattu au cours d'une nuit.
Le malheureux agent tentait d'élucider une banale affaire de vols de pièces de cuivres situées sur des locomotives Diesel fournies par les Américains dans le cadre du plan Marshall. L'affaire se complique encore, lorsqu'un second crime est commis dans ces mêmes locaux. Un inconnu est découvert écrasé sur un essieu, sous une locomotive lâchée depuis un pont roulant !
Tandis que les forces de police locales penchent pour un tueur en série dément, Granville est convaincu qu'une mystérieuse organisation criminelle étrangère est à l'origine de ces morts violentes. Mais le mobile reste nébuleux. Au fur et à mesure que les cadavres s'accumulent dans la cité Champenoise, la psychose s'installe parmi les cheminots redoutant d'être la prochaine victime du tueur des ateliers...
L'avis LR PRESSE
Ce tome 3 met fin à la question lancinante traversant les précédents albums : qui veut la peau de Granville et surtout, pourquoi ? Mais les auteurs n’oublient pas pour autant que Granville est un agent de la SUGE (la police de la SNCF) et ils l’envoient donc enquêter, épaulé par l’inénarrable Pigagniole (aux connaissances ferroviaires extraordinaires !) sur une série de meurtres dans les ateliers d’Épernay liés semble-t-il à un trafic de cuivre. L’occasion pour les auteurs de dessiner de belles machines en révision, en levage et de restituer une ambiance aujourd’hui disparue, les ateliers ayant fermés. Le nombre de morts est plutôt impressionnant dans cet album qui fait la part belle aux A1A 62000 (sortis dernièrement en H0), ces derniers étant un personnage à part entière. Un dessin classique, une intrigue bien menée, et une ambiance des années 1960 parfaitement rendue : un pur moment de plaisir à la lecture !
Aurélien Prévot
